Tableau n°1 : affections dues au plomb et à ses composés

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Classement des maladies

Heure de prise en charge Check-list indicative des gros travaux susceptibles de provoquer ces maladies A) Indications intenses et aussi subaiguësAnémie (hémoglobine sanguine inférieure à 13 g/100 ml chez les hommes et 12 g/100 ml chez les femmes).

3 mois

Extraction, traitement, préparation, homepage utilisation, manipulation du plomb, de ses minerais, de ses alliages, de ses combinaisons et de tout type de produit en contenant.
Récupération du vieux plomb.Éraflage, délestage, découpage en lanterne de matériaux recouverts de peintures au plomb.

Trouble de la douleur abdominale paroxystique afébrile avec état subocclusif (forte colique) généralement accompagné d’une crise hypertensive.

Encéphalopathie sévère.

Pour tous les symptômes aigus et subaigus, l’exposition au plomb doit être identifiée par une plombémie supérieure à 40 microgrammes par 100 ml de sang ainsi que par les indicateurs médicaux liés à un taux urinaire d’acide delta-aminolévulinique supérieur à 15 milligrammes/g de du sang. créatinine ou un taux sanguin de protoporpyhyrine érythrocytaire supérieur à 20 microgrammes/g d’hémoglobine et, pour l’anémie, un taux de ferritine normal ou élevé.

  1. Trente jours
  2. B) Indications persistantes
  3. Neuropathies périphériques et/ou sclérose latérale amyotrophique ne s’aggravant pas après l’arrêt de l’exposition.

3 années

Troubles neurologiques organiques à type d’incapacité des traits cognitifs, dont l’organicité est vérifiée, après exemption des signes persistants de maladie alcoolique, par des techniques impartiales.1 an.

L’insuffisance rénale chronique.

Pour toutes les manifestations persistantes, l’exposition au plomb doit être identifiée par une plombémie antérieure supérieure à 80 microgrammes/100 ml ou, à défaut, par des perturbations organiques détaillées d’une exposition directe antérieure au plomb.
C) Trouble organique associant 2 anomalies :

  • d’une part, une incapacité biologique constituant soit un taux d’acide delta-aminolévulinique supérieur à 15 milligrammes/g de créatinine urinaire, soit un taux de protoporphyrine érythrocytaire supérieur à 20 microgrammes/g d’hémoglobine ;
  • d’autre part, une plombémie supérieure à 80 microgrammes/100 ml de sang.

Le trouble organique doit être validé par la duplication des deux bilans relevés, réalisés à des périodes rapprochées par un laboratoire de recherche agréé dans les conditions prévues au Rédaction 4 du Mandat n° 88-120 du 1er février 1988 relatif à la sécurité des personnes exposées. des employés. le plomb métallique ainsi que ses composés.