Tous les stagiaires satisfaits qui participeront certainement au Congrès National de Médecine du Travail de Grenoble sont priés de se présenter à Alexis d’ESCATHA, stagiaire de Paris, qui présentera une étude épidémiologique sur les TMS. N’hésitez pas à l’appeler à l’occasion de ce séminaire.
Il vous est par ailleurs vivement conseillé de vous mêler des préoccupations à l’issue de la discussion ou des tables rondes en vous présentant, style : « X, spécialiste du bien-être au travail, mais oui, je vous assure, il en reste encore… ».
J’ai actuellement vérifié ce type de formule un certain nombre de fois.
Je vous assure que cela fait son effet et ne laisse pas non plus le marché cible détaché. Ne manquez pas de rappeler qu’il y aura probablement des médecins régularisés à ce congrès, ainsi que des professionnels médicaux potentiellement collaborateurs, futurs recruteurs. Ne restons pas silencieux.
Prouvons que nous existons, vigilants, qualifiés autant qu’inspirés. Permettez de ne pas céder du terrain. Permettez de garder le stress. Je vous signale qu’à Paris, il y a 151 médecins en régularisation en 2 ans dans le cadre de la “fameuse” loi “innovation” sociale, alors qu’il n’y a que 141 stagiaires (élève et aussi concurrents européens) inscrits au 2e cinquante pour cent de 2002, soit.
141 stagiaires professionnels formés homepage en 4 ans, d’où un tarif ordinaire de 75 régularisés/an contre 35 stagiaires/an, même si cette troisième voie n’est que transitoire (c’était déjà le cas en 1998 !).
Pour mémoire, tout au long de la commission d’autorisation des stages en médecine du travail à Paris, nous avons réclamé la plus grande prudence afin que des médecins régularisés ne puissent devenir des maîtres de stage confirmant la formation des experts que nous sommes, énonçant donc notre stage clairement discuté lors de l’attribution commission. Il est fortement recommandé à chaque représentant stagiaire régional de faire de même.